À Nassau, c’est comme en Valais, il y a un microclimat !
Grégory Métrailler, notre expatrié aux Bahamas, nous donnait de ses nouvelles

Si la Floride est sous l’eau aujourd’hui avec des dégâts dus aux intempéries
Aux Bahamas, pas mal de pluie au menu de la journée, mais pas autant que sa voisine, à seulement une demi-heure d’avion, Miami-Nassau. Le souhait de Grégory ? Que lors de la période de grandes perturbations climatiques habituelles, les ouragans tournent le dos aux Bahamas et s’en aillent vers le nord.
L’actualité dans son pays d’adoption
Le mois de mars étant la saison pluvieuse là-bas, en juin, c’est la fin des écoles, tous les parents sont très occupés à cette affaire, et c’est également la préparation des ouragans qui a déjà débuté. En ce qui concerne les enfants, leurs occupations vont beaucoup dépendre du niveau économique de la famille. Selon Grégory Métrailler, de nombreuses personnes n’ont pas l’occasion de voyager énormément et donc de facto, restent sur l’île où ils habitent.
Les expatriés
Quant aux expatriés, nombreux restent sur l’île durant l’hiver, et vont passer un à deux mois durant l’été en Europe, aux États-Unis ou au Canada. Beaucoup d’expatriés sont venus s’installer à Nassau pour des raisons d’impositions, et d’autres viennent de l’étranger afin de travailler dans le domaine de la construction principalement et dans le secteur financier. Grégory souligne que les lois de l’immigration aux Bahamas sont relativement dures afin de protéger les travailleurs locaux.